La Place du Mort de Christophe Siébert

jeudi 27 avril 2017

Nous vous l'avions annoncé il y a quelque temps de cela sur notre page FB, un nouvel auteur vient de faire son entrée dans notre Zone 51 !

Il s'agit de Christophe Siébert, auteur de La Place du Mort qui paraîtra chez OVNI Éditeur d'autres Réalités le 5 juin 2017.

Ce roman, déjà paru une première fois aux éditions du Camion Noir en 2014, va donc se voir accorder une renaissance grandement méritée en tant que notre prochain Dossier non classé. Et pour cause !

Ce livre est un véritable roman noir, politiquement incorrect, réunissant sexe, violence, drogue et un road-movie au goût de descente aux enfers comme il nous est rarement arrivé d'en lire. Inutile de vous dire à quel point nous nous sommes régalés à la découverte de ce manuscrit que nous n'avons pas hésité une seule seconde à publier !

Et à la lecture de la préface écrite par Artikel Unbekannt / Schweinhund, c'est encore plus clair, jugez plutôt par vous-mêmes :

"Brutal, féroce, radical, impétueux, tout en étant rempli jusqu'à la gueule d'une infinie tendresse et d'une vraie compassion. [...] Alors, engagé ou dégagé, La Place du Mort ? Les deux, mon capitaine. Et enragé, surtout. Enragé sans relâche, sans pitié et sans remords. [...] Et avec La Place du Mort, je vous garantis des moments de lecture vraiment spéciaux. [...] À la sortie, vous aurez envie de crier "pitié" et "merci" en même temps. Vous allez voir, ça fait bizarre mais c'est bon. [...]"


C'est bien beau nous direz-vous, mais de quoi s'agit-il exactement ? Et bien, voici un petit avant-goût pour vous permettre de vous asseoir à La Place du Mort :






De nos jours. Dans le noir.

L’important, ce n’est pas où on va. Parce que, quoiqu’il advienne, on ne va nulle part. L’important, c’est comment on y va. Et ce qu’il advient pendant ce temps-là, justement. Mais La place du mort, ce n’est pas « Après nous, le déluge ». Ce n’est pas l’eau tiède de la démission passive. C’est la cigarette du condamné. Celle qu’on brûle par les deux bouts.

Aux grands maux, les grands remèdes. Tant pis si le remède s’avère pire que le mal. Tant pis s’il a goût d’essence, dès lors qu’il reste une allumette pour cracher du feu. La place du mort, c’est quand les victimes décident de se faire juges, jurés et bourreaux. Et quand la charité bien désordonnée commence par soi-même, elle se transforme en arme de destruction massive.

Mais ne croyez pas qu’il ne s’agisse que de littérature. Ce serait à la fois trop facile et faux. Parce que la littérature façon Christophe Siébert, ce n’est jamais « que » de la littérature.

Oubliez Bonnie and Clyde. Oubliez Sid and Nancy.

Voici vos nouveaux amis. Ils s’appellent Blandine et Sammy.

Vous n’allez pas en revenir. Au sens propre, sale et figuré.




Vous l'aurez compris, Christophe Siébert est non seulement un excellent auteur, avec plusieurs romans à son actif, comme Nuit Noire et Paranoïa publiés chez TRASH, mais il possède en plus un don pour donner un éclairage différent à la psychologie et au comportement humains.









Les Intergalactiques - du 21 au 30 avril 2017 - Lyon

mercredi 26 avril 2017



Certes, nous ne sommes pas vraiment en avance pour vous parler de cette 6e édition des Intergalactiques, qui se déroulent à Lyon, et qui ont cette année débuté le 21 avril 2017. Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire, paraît-il.

Pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas cette manifestation, il s'agit d'un festival de science-fiction regroupant cinéma, littérature et science pour le plus grand plaisir des passionnés du genre.


Au programme donc, des rétrospectives cinéma, des tables rondes diverses et variées, des concours, des lectures, des invités en tous genres et plein de choses encore (le programme ici) bref tout pour passer une semaine passionnante autour d'une passion commune : la SF ! 

Le programme peut sembler être déjà bien entamé, mais il reste encore quatre jours pour profiter de l'évènement, et pas des moindres, n'hésitez donc pas à aller y faire un tour, l'entrée est gratuite (en dehors des séances de projection), une bonne raison de plus de ne pas manquer cette 6e édition !


Et comme un bonheur n'arrive jamais seul (enfin y a pas que pour les bonheurs, mais c'est un autre sujet), nous profitons de ce petit rapport pour vous annoncer la présence sur place de l'un de nos auteurs ce week-end : Jean-Pierre Andrevon !

Il sera présent pour dédicacer plusieurs de ses romans, dont son OVNI : 9 Morts par quelques nuits d'hiver.

Ce roman soufflera d'ailleurs sous peu sa première bougie, mais nous ne manquerons pas de vous en parler plus longuement ici même lors d'un prochain rapport.



Alors bonne plongée en pleine Science-Fiction à toutes et tous !

Divino Sacrum... Ou l'histoire d'une promesse

samedi 15 avril 2017

Depuis plusieurs jours maintenant, nous avons pu constater que vous êtes nombreux à applaudir la démarche fort louable de certains éditeurs qui ont pris la décision de reverser un pourcentage du prix de vente de certains de leurs articles au profit d'associations caritatives. C'est tout à leur honneur, et à celui de celles et ceux qui y contribuent, que de vouloir œuvrer pour des causes qui le méritent, et qui en ont besoin.

Mais il semblerait également que toutes ces démarches louables n'aient pas toutes été aussi remarquées, et c'est le cas de la nôtre. 

Car chez OVNI, si vous avez à présent compris que nous défendons un certain nombre de valeurs, nous soutenons également une cause qui le mérite amplement. Et cette cause, c'est la lutte contre le cancer. Alors, à la lecture de ce début d'article, certains d'entre vous se demanderont sûrement de quelle façon, surtout si vous n'avez pas eu l'occasion de voir passer les diverses communications que nous avons faites sur le sujet.

C'est la raison pour laquelle nous avons décidé de court-circuiter un peu l'ordre de présentation de nos romans, pour passer directement à celle du dernier roman de Franca Maï : Divino Sacrum.

Car ce roman est bien plus que cela. Pour nous, il est la concrétisation d'une promesse que nous avons faite à Bruno Pochesci après la lecture du manuscrit qu'il nous avait confié dans l'espoir de lui trouver un éditeur, qui nous a transcendés et dans lequel nous avons tout de suite cru. Et ce manuscrit, il ne le portait pas par hasard, mais parce que lui-même avait fait une promesse qu'il s'était juré d’honorer. Une promesse faite à Franca Maï...   

Et cette promesse, nous l'avons tenue, car ce texte, autant que les autres textes que nous publions, se devait d'être publié. Mais surtout, il mérite d'être lu, par le plus grand nombre, car il se dégage de sa lecture une dose d'optimisme qu'il nous aurait au départ semblé impossible à trouver de ce genre de fiction.

Et au-delà de publier ce texte, nous avons décidé, suite au visionnage d'une vidéo de Franca Maï parlant à cœur ouvert de son combat contre la maladie, réalisée par Bruno lui-même (aka Sirieix), de nous associer à ce combat mené par tant de personnes au quotidien.

Voilà pourquoi, en accord avec la fille de Franca, nous reversons 4 euros pour chaque exemplaire vendu à l'Institut Gustave Roussy de Villejuif pour les soutenir dans leurs recherches, afin de participer à notre modeste échelle au soutien des personnes atteintes de cette putain de maladie et de leurs familles. 

4 euros, cela peut sembler peu, mais en s'associant à cette démarche, ces 4 euros se transformeront peut-être en une avancée majeure, qui sait, mais seront sans aucun doute une lueur d'espoir supplémentaire pour tous ces combattants de l'ombre, pour ces personnes blessées à qui, entre autres, Franca donne voix quand notre société répugne parfois à les écouter.

Car dans Divino Sacrum, Franca Maï brosse le quotidien cru des cancéreux dont la souffrance est tue par une porte close, tout en y extrayant l'incandescence de la passion.

Petit avant-goût : 

"Un coquelicot... Parlez-moi de ce voisin du pavot, aux sépales caducs, familier des étendues à l'infini... ! Décrivez-moi cette plante herbacée à l'existence fugitive, d'un rouge incarnat comme les lèvres goulues des jeunes filles en fleur, mais surtout, ne prononcez pas ce mot obscène, ce mot froid comme du métal qui provoque des frayeurs inconnues, mouillant les draps fiévreux, ce mot qui ne me dit rien qui vaille pour l'instant."

Lorsque Malva découvre son cancer, c'est tout son quotidien qui s'en trouve ébranlé. Décidée à faire la peau au crabe qui ronge la sienne, elle doit, en parallèle, s'atteler à remodeler son univers, et à affronter la lente dérive d'un amour passionnel.
Quitte à se munir d'un coquelicot.


Petit avant-goût :

 

« Un coquelicot... Parlez-moi de ce voisin du pavot, aux sépales caducs, familier des étendues à l'infini... ! Décriv­ez-moi cette plante herbacée à l'existence fugitive, d'un rouge incarnat comme les lèvres goulues des jeunes filles en fleur, mais surtout ne prononcez pas ce mot obscène, ce mot froid comme du métal qui provoque des frayeurs inconnues, mouillant les draps fiévreux, ce mot qui ne me dit rien qui vaille pour l'instant. » 


Lorsque Malva découvre son cancer, c'est tout son quotidien qui s'en trouve ébranlé. Décidée à faire la peau au crabe qui ronge la sienne, elle doit, en parallèle, s'atteler à remodeler son univers, et à affronter la lente dérive d'un amour passionnel. 

Quitte à se munir d'un coquelicot. 

L'ouvrage est évidemment disponible sur notre boutique en ligne, mais également sur Amazon, sa sortie numérique n'étant pas encore programmée puisque nous estimons que le livre n'a pas encore eu suffisamment de temps d'existence. Vous pouvez aussi évidemment le commander chez votre libraire préféré !
Cependant, nous voudrions attirer votre attention sur un point : nous avons constaté que certains vendent sur Amazon des exemplaires d'occasion de Divino Sacrum. Nous ne blâmons pas du tout ce fait, mais tenions à vous rappeler que seul l'achat d'un ouvrage neuf permet de contribuer au don

Couverture réalisée par Arena Mevorach

À l'Ère du numérique !

samedi 8 avril 2017

À la création d'OVNI, nous avions la volonté de respecter tous les maillons de la chaîne du livre en permettant à tous ses acteurs d'en faire partie, raison pour laquelle nous avons mis en avant les livres papier.

Mais, et l'un de nos précédents articles a déjà abordé le sujet, au bout de presque deux ans d'existence, il a bien fallu se rendre à l'évidence :

Entre les acteurs de cette fameuse chaîne du livre qui ne jouent pas le jeu, la demande qui, mine de rien, ne fait que grandir, et notre volonté de laisser le choix aux lecteurs quant à leur façon d'entrer dans la dimension OVNI, il a bien fallu se poser la question du numérique.

Il est évident qu'à notre époque, on ne peut pas rester très longtemps réfractaire à une nouvelle technologie, à un nouvel outil qui s'offre à nous, ce ne serait pas constructif, car il faut tout de même apprendre à vivre avec son temps, et surtout, satisfaire les lecteurs de tous les lectorats.

Nous avons donc décidé d'ouvrir la dimension OVNI à toutes celles et tous ceux qui seraient des ebookovores, celles et ceux dont la liseuse/tablette est devenue un accessoire indispensable, celles et ceux qui estiment qu'il n'est nul besoin d'abattre un arbre pour lire, bref, à toutes celles et tous ceux qui aiment lire autrement qu'en tournant des pages constituées de papier.

Et nous allons, dans un premier temps, inaugurer cette initiative en ouvrant un catalogue numérique sur Amazon. 

Je vous entends d'ici : "Super, y'aura que les propriétaires de Kindle qui pourront en profiter, si c'est ça laisser le choix, merci bien !" Et vous auriez tout à fait le droit de le penser et de le dire.

Mais, oui il y a toujours un mais, cette restriction sera de courte durée puisque nous travaillons actuellement au développement d'une toute nouvelle boutique dédiée au numérique qui permettra au plus grand nombre de se procurer nos livres numériques d'ici une quinzaine de jours au plus tard. Seul petit bémol, qui donnera sans doute à certains l'impression d'être laissés pour compte, nos ouvrages ne seront pas disponibles sur Apple. Pour l'instant en tout cas, après tout, personne ne sait de quoi sera fait demain.

Nous développerons notre catalogue de deux façons : 

- Tout d'abord, nous publierons au format numérique les romans déjà publiés au format papier, dans l'ordre de leur sortie originale, après leur avoir laissé le temps d'exister en tant que livre. C'était notre volonté principale et elle le restera.

- Ensuite, d'ici quelques semaines, nous ouvrirons notre catalogue à des titres plus courts, dont le format ne se prêtait pas vraiment à l'impression papier (raison principale pour laquelle nous avons dû refuser certains textes pourtant prometteurs), voire à des recueils de nouvelles, dont plusieurs nous avaient été soumis et que nous ne désirions pas éditer au format papier, car, il faut l'avouer, le recueil est un ouvrage qui a bien souvent du mal à trouver son lectorat.

Note aux auteurs : nous espérons que vous n'irez pas imaginer que, si nous envisagions de vous publier sous format numérique sans passer par la case papier, ce serait dû au fait que nous dévalorisons votre texte. Chez OVNI, nous ne profiterons pas de cette ouverture du numérique pour publier tout ce qui passe, nous continuerons à ne publier que les textes que nous jugerons bons, et il n'est ici réellement question que de format se prêtant ou non à la publication papier (vous comprendrez que faire imprimer un livre ne contenant qu'une nouvelle, par exemple, n'est pas forcément envisageable pour nous).

Voilà, vous savez tout du passage à l'Ère du numérique des éditions OVNI, nous ne manquerons pas de vous faire part de l'ouverture de la boutique dédiée au numérique dans les prochains jours !

En attendant, nos premiers ouvrages numériques seront disponibles d'ici quelques jours sur Amazon !

ImaJn’ère – Un salon pour les passionnés, par des passionnés

jeudi 6 avril 2017

Parce que nous vous avions promis de partager avec vous, non seulement nos coups de gueules, mais aussi nos coups de cœur, voici donc l’un de nos coups de cœur qui a marqué l’année 2016.


Les « salons littéraires », les « rencontres de… », les « festivals de… », il y en a une énorme quantité dans notre pays. Des grands, des moins importants, des réputés, des décriés, des anciens, des récents. Bref, ça pullule.
Pas facile de s’y retrouver dans cette jungle. Depuis la création d’OVNI, nous en avons fait un certain nombre. Pas autant que nous aurions souhaité, mais, pour des contraintes de temps, nous devions faire des choix.
Nous avons vécu des expériences différentes à chaque fois. De la satisfaction, de la frustration, des joies et des déceptions. Chaque salon génère son lot de sentiments.
Et puis il y a les salons qui sortent de l’ordinaire.

ImaJn’ère en fait partie.

Angers : 150.000 habitants, préfecture du Maine-et-Loire. C’est là, dans les Salons Curnonsky, que se déroule cette manifestation comparable à nulle autre.

Déjà, le cadre : chaleureux, cosy, accueillant, grand et classe à la fois. Oui, cela fait beaucoup de qualificatifs, mais aucun n’est ici usurpé. L’endroit est juste magnifique, et on s’y sent bien dès qu’on en franchit les portes. Nichés au sein du bâtiment du XIXè siècle qui doit son nom à un prestigieux gastronome (ce qui n’a rien d’étonnant quand on connaît un peu plus le fin gourmet qu’est le président de l’association homonyme qui gère la manifestation – on y revient un peu plus loin), ces salons, vastes et lumineux, permettent à chacun des auteurs et des éditeurs qui y sont accueillis de se sentir tout de suite à l’aise. En effet, les bénévoles sont nombreux et se mettent tout de suite au service des arrivants, les aidant du mieux qu’ils le peuvent à s’installer, dans les meilleures conditions qui soient. De ce fait, même en ne connaissant personne, la bienveillance de l’équipe permet tout de suite de briser la glace.

L’équipe, justement, parlons-en : chaleureuse, dévouée, serviable, compétente et disponible. Oui, tout ça à la fois. C’est suffisamment rare pour être signalé, car, de trop nombreuses fois, les participants à ces salons se trouvent un peu lâchés comme des chiens dans un jeu de quilles. Ici, rien de tout ça.


Et puis, que dire du Président de l’association, M. Jean-Hugues Villacampa ? 
Que du bien. Partout à la fois, un œil à droite et à gauche en même temps, il passe de stand en stand, avec, pour chacun, un petit mot amical et sincère. Ce monsieur, passionné depuis de très nombreuses années des cultures de l’imaginaire (et un de ceux qui ont fait beaucoup pour le développement du JdR en France), représente à lui seul ce qui fait d’ImaJ’nère un salon unique : chaleur et convivialité.
Cette année, ImaJ’nère a lieu ce week-end (les 8 et 9 avril 2017, donc).
Et, comme tous les ans, on va y retrouver pléthore d’auteurs qui œuvrent dans cette littérature que nous apprécions tant.
Je ne vais pas tous les citer (vous retrouverez la liste complète sur le site de l’association, mais il y aura, entre autres :

Danielle Thiéry, une ancienne commissaire de police dont plusieurs des romans ont été primés. 
À ses côtés, Jean- Marc Ligny, Lionel Davoust, Bruno Pochesci, l’incontournable Laurent Whale et, bien évidemment, deux de nos auteurs en la personne de Brice Tarvel (qui présentera, entre autres « Une camionnette qui servait de volière ») et Julien Heylbroeck qui aura bien évidemment parmi ses œuvres, « Le Dernier Vodianoï » à vous dédicacer.

Vous pourrez donc retrouver tous ces auteurs (et d’autres) qui se feront un plaisir d’échanger un mot avec vous autour d’une dédicace alors que vous parcourez les tables des deux étages du salon.

Mais ImaJ’nère ce n’est pas « que » ça. C’est également une série d’animations qui se dérouleront au cours de ces deux jours (tables rondes, dédicaces spéciales, ateliers et concert) et qui vous permettront, entre deux discussions à la buvette ou avec un auteur, d’aborder d’autres aspects de ces littératures qui nous tiennent tant à cœur.

Enfin, vous pourrez vous procurer l’anthologie 2017 à laquelle 18 auteurs ont participé. 18 plumes qui se sont mises au service d’un thème : « au fil de l’eau ». Pour un prix modique, ce serait un crime que de s’en passer.

Voilà, c’est un peu tout ça, ImaJ’nère. Tout ça et bien d’autres choses encore. Nous vous l’assurons. Ces deux jours passeront à une vitesse folle tant il y aura de personnes à rencontrer, de discussions à partager et de livres à se faire dédicacer. ImaJ’nère, c’est un peu « le salon dans votre salon » ; un cadre magnifique, une ambiance feutrée et des sourires tous les deux mètres.

ImaJ’nère, c’est un concentré de ce que tous les salons devraient être. Malheureusement, c’est loin d’être le cas. Et c’est bien dommage.

OVNI a été à ImaJ’nère 2016. Nous n’y sommes pas en 2017. Mais il ne fait aucun doute que nous y serons de retour en 2018.


Un dernier détail : évidemment, l’entrée est libre.

Christophe Rosati

samedi 1 avril 2017

Nous vous avions avertis lors de notre première publication concernant la Zone 51, certains de nos résidents ne sont pas là par hasard...

Pour preuve, nous avons recueilli pour vous ces quelques brides de paroles, enregistrées lors d'un interrogatoire dont, nous devons l'avouer, nous n'avons pas encore décrypté tout le contenu...

Ces propos de Christophe Rosati, auteur de La Confidence d'Althios - Le Vélin Oublié, ont été enregistrés puis retranscrits par l'un de nos agents, lors d'une sombre nuit de septembre 2015...



"Il s'agit de trouver un terrain d'entente concernant les lapins. Ils pullulent ! Il est vraiment temps de faire quelque chose, d'autant que j'en ai vu un la dernière fois qui courait dans mon jardin, une montre à la main et...

Oh pardon !

Bonsoir ! Venez ici, vous asseoir au coin du feu. Ce n'est pas très important, mais oui, je le connais, l'hurluberlu dont vous comptez lire le texte. J'ai eu l'occasion de le croiser une fois ou deux. Il est né un jeudi, voyez-vous ? Un jour où une secte entière s'est donné la mort. Y-a-t-il un lien ? Mmmh ? Bref... l'idée c'est que cet auteur-là  passé sa vie à se chercher dans les études pour finalement se chercher dans son travail jusqu'à ce que l'éducation lui tombe dessus. Ca peut faire mal une classe entière sur le coin de la figure, non ?

Quoi qu’il en soit, entre déménagements un peu partout et expériences diverses, il s’est trouvé un point commun. Plus ou moins inattendu puisqu’il était larvé depuis des tas d’années : l’écriture !

Poèmes, nouvelles, romans… en fait, il réservait au départ ses écrits au jeu de rôle (un rescapé de Mireille. Vous connaissez Mireille ? Non ?), mais un exil dans les hauteurs helvètes lui a donné l’envie de se lancer dans la publication. Après une première expérience plus que mitigée, il publie un roman destiné à la jeunesse, mais pas uniquement, qu’il intitule « Le sorcier de passe-chanes », puis des nouvelles et autres romans sortis ou à venir qui comprennent en vrac : des inondations, des tentacules, des psychopathes, des ouroboros, des vieux handicapés, des fins du monde et d’autres joyeusetés.
À partir de là, il…
Oh, mais !
Là-bas !
Vous le voyez entre les deux arbres ? Le lapin !
À la moutarde, c’est comme ça qu’ils passent le mieux, vous ne trouvez pas ?"

Si cet extrait vous a, comme nous interpellés et donné envie d'en savoir plus, c'est possible, puisque Mister X avait interviewé Christophe et retranscrit l'entrevue qui ne tardera pas à être publiée ici même.


Et pour en savoir plus sur son univers, un tout petit peu de patience, un article entièrement consacré au premier tome de La Confidence d'Altios arrivera d'ici quelques jours, et une nouvelle gratuite est disponible sur notre site.

Mais la zone 51 renferme encore bien des secrets, suivez bien le guide...